A l’introduction de ses discours, le pasteur Jules MULINDWA
dit pourtant qu’un serviteur de Dieu doit être caractérisé par la paix,
l’amour, la simplicité, l’humilité, etc., toutes les vertus, au fait.
Bon parleur n’a toujours pas été bon faiseur ! Il ne cesse
d’ajouter que ces vertus doivent être observées dans toutes les actions et
démarches que ceux-ci entreprennent. Ainsi, dit-il, ce caractère doit se faire
voir au travers de leur façon de parler, de marcher, de regarder, au travers de
tous les actes qu’ils posent dans leur vie courante. Ceci est illustré par un
passage biblique. C’est encore
l’introduction.
Dans le corps de son discours, les débordements et
hors-sujets, des exemples terre à terre et des hyperboles commencent à
apparaitre, et ce, contre les responsables religieux, principalement ceux de
l’Eglise Catholique.
Le pasteur Jules MULINDWA s’attaque violemment et sans pitié
aux prêtres, curés, abbés, évêques, etc., en créant et divulguant des hérésies
très banales contre ceux-ci. Qui peut s’étonner ! Le Pasteur ignore tout, ses adeptes aussi.
L’apôtre soutient ses faux exemples avec un petit adage qui
dit « La vérité blesse. », ignorant que Vérité ne peut être appelé
ainsi que quand elle s’annonce d’une manière polie et non violente. Annoncée violemment
et avec toute impolitesse, elle perd sa qualité de Vérité car, contenant déjà
des exagérations.
La principale accusation que ce pasteur porte contre les
curés concerne la débauche et l’ivrognerie : « Les personnes qui ont étudié
dans des écoles Conventionnées Catholiques deviennent toujours des
soulards ! ». Mais sans preuve exacte. Seulement les mots pleins de
mensonge et reflétant le vrai manque de connaissance. « La population de
Goma périt par manque de connaissance. »
Pasteur Jules ignore également comment s’acquièrent les
titres tels que celui de « prêtre », « Evêque »,
« Monseigneur », etc. il en accuse les détenteurs de s’être
autoproclamés, pendant que c’est un
produit du lourd travail que ces vrais hommes de Dieu ont fourni pour y parvenir.
Au contraire, parlant de l’auto proclamation, Jules est
entrain de s’accuser lui-même sans le savoir, car les titres de
« pasteur » et « apôtre » qu’il détient, il se les était
donné.
En lui, il porte vraiment plus que des caractéristiques d’un
secteur bien fait, ce pasteur.
A l’introduction de ses discours, le pasteur Jules MULINDWA
dit pourtant qu’un serviteur de Dieu doit être caractérisé par la paix,
l’amour, la simplicité, l’humilité, etc., toutes les vertus, au fait.
Bon parleur n’a toujours pas été bon faiseur ! Il ne cesse
d’ajouter que ces vertus doivent être observées dans toutes les actions et
démarches que ceux-ci entreprennent. Ainsi, dit-il, ce caractère doit se faire
voir au travers de leur façon de parler, de marcher, de regarder, au travers de
tous les actes qu’ils posent dans leur vie courante. Ceci est illustré par un
passage biblique. C’est encore
l’introduction.
Dans le corps de son discours, les débordements et
hors-sujets, des exemples terre à terre et des hyperboles commencent à
apparaitre, et ce, contre les responsables religieux, principalement ceux de
l’Eglise Catholique.
Le pasteur Jules MULINDWA s’attaque violemment et sans pitié
aux prêtres, curés, abbés, évêques, etc., en créant et divulguant des hérésies
très banales contre ceux-ci. Qui peut s’étonner ! Le Pasteur ignore tout, ses adeptes aussi.
L’apôtre soutient ses faux exemples avec un petit adage qui
dit « La vérité blesse. », ignorant que Vérité ne peut être appelé
ainsi que quand elle s’annonce d’une manière polie et non violente. Annoncée violemment
et avec toute impolitesse, elle perd sa qualité de Vérité car, contenant déjà
des exagérations.
La principale accusation que ce pasteur porte contre les
curés concerne la débauche et l’ivrognerie : « Les personnes qui ont étudié
dans des écoles Conventionnées Catholiques deviennent toujours des
soulards ! ». Mais sans preuve exacte. Seulement les mots pleins de
mensonge et reflétant le vrai manque de connaissance. « La population de
Goma périt par manque de connaissance. »
Pasteur Jules ignore également comment s’acquièrent les
titres tels que celui de « prêtre », « Evêque »,
« Monseigneur », etc. il en accuse les détenteurs de s’être
autoproclamés, pendant que c’est un
produit du lourd travail que ces vrais hommes de Dieu ont fourni pour y parvenir.
Au contraire, parlant de l’auto proclamation, Jules est
entrain de s’accuser lui-même sans le savoir, car les titres de
« pasteur » et « apôtre » qu’il détient, il se les était
donné.
En lui, il porte vraiment plus que des caractéristiques d’un
secteur bien fait, ce pasteur.