jeudi 16 novembre 2017

Argumentation principale du pasteur Jules Mulindwa


A l’introduction de ses discours, le pasteur Jules MULINDWA dit pourtant qu’un serviteur de Dieu doit être caractérisé par la paix, l’amour, la simplicité, l’humilité, etc., toutes les vertus, au fait.

Bon parleur n’a toujours pas été bon faiseur ! Il ne cesse d’ajouter que ces vertus doivent être observées dans toutes les actions et démarches que ceux-ci entreprennent. Ainsi, dit-il, ce caractère doit se faire voir au travers de leur façon de parler, de marcher, de regarder, au travers de tous les actes qu’ils posent dans leur vie courante. Ceci est illustré par un passage biblique.  C’est encore l’introduction.

Dans le corps de son discours, les débordements et hors-sujets, des exemples terre à terre et des hyperboles commencent à apparaitre, et ce, contre les responsables religieux, principalement ceux de l’Eglise Catholique.

Le pasteur Jules MULINDWA s’attaque violemment et sans pitié aux prêtres, curés, abbés, évêques, etc., en créant et divulguant des hérésies très banales contre ceux-ci. Qui peut s’étonner !  Le Pasteur ignore tout, ses adeptes aussi.

L’apôtre soutient ses faux exemples avec un petit adage qui dit « La vérité blesse. », ignorant que Vérité ne peut être appelé ainsi que quand elle s’annonce d’une manière polie et non violente. Annoncée violemment et avec toute impolitesse, elle perd sa qualité de Vérité car, contenant déjà des exagérations.

La principale accusation que ce pasteur porte contre les curés concerne la débauche et l’ivrognerie : « Les personnes qui ont étudié dans des écoles Conventionnées Catholiques deviennent toujours des soulards ! ». Mais sans preuve exacte. Seulement les mots pleins de mensonge et reflétant le vrai manque de connaissance. « La population de Goma périt par manque de connaissance. »

Pasteur Jules ignore également comment s’acquièrent les titres tels que celui de « prêtre », « Evêque », « Monseigneur », etc. il en accuse les détenteurs de s’être autoproclamés, pendant que  c’est un produit du lourd travail que ces vrais hommes de Dieu ont fourni pour y parvenir.

Au contraire, parlant de l’auto proclamation, Jules est entrain de s’accuser lui-même sans le savoir, car les titres de « pasteur » et « apôtre » qu’il détient, il se les était donné.

En lui, il porte vraiment plus que des caractéristiques d’un secteur bien fait, ce pasteur.

A l’introduction de ses discours, le pasteur Jules MULINDWA dit pourtant qu’un serviteur de Dieu doit être caractérisé par la paix, l’amour, la simplicité, l’humilité, etc., toutes les vertus, au fait.

Bon parleur n’a toujours pas été bon faiseur ! Il ne cesse d’ajouter que ces vertus doivent être observées dans toutes les actions et démarches que ceux-ci entreprennent. Ainsi, dit-il, ce caractère doit se faire voir au travers de leur façon de parler, de marcher, de regarder, au travers de tous les actes qu’ils posent dans leur vie courante. Ceci est illustré par un passage biblique.  C’est encore l’introduction.

Dans le corps de son discours, les débordements et hors-sujets, des exemples terre à terre et des hyperboles commencent à apparaitre, et ce, contre les responsables religieux, principalement ceux de l’Eglise Catholique.

Le pasteur Jules MULINDWA s’attaque violemment et sans pitié aux prêtres, curés, abbés, évêques, etc., en créant et divulguant des hérésies très banales contre ceux-ci. Qui peut s’étonner !  Le Pasteur ignore tout, ses adeptes aussi.

L’apôtre soutient ses faux exemples avec un petit adage qui dit « La vérité blesse. », ignorant que Vérité ne peut être appelé ainsi que quand elle s’annonce d’une manière polie et non violente. Annoncée violemment et avec toute impolitesse, elle perd sa qualité de Vérité car, contenant déjà des exagérations.

La principale accusation que ce pasteur porte contre les curés concerne la débauche et l’ivrognerie : « Les personnes qui ont étudié dans des écoles Conventionnées Catholiques deviennent toujours des soulards ! ». Mais sans preuve exacte. Seulement les mots pleins de mensonge et reflétant le vrai manque de connaissance. « La population de Goma périt par manque de connaissance. »

Pasteur Jules ignore également comment s’acquièrent les titres tels que celui de « prêtre », « Evêque », « Monseigneur », etc. il en accuse les détenteurs de s’être autoproclamés, pendant que  c’est un produit du lourd travail que ces vrais hommes de Dieu ont fourni pour y parvenir.

Au contraire, parlant de l’auto proclamation, Jules est entrain de s’accuser lui-même sans le savoir, car les titres de « pasteur » et « apôtre » qu’il détient, il se les était donné.

En lui, il porte vraiment plus que des caractéristiques d’un secteur bien fait, ce pasteur.

LES PRECEPTES DES SECTES RELIGIEUSES DU CONGO


A Goma, les églises sont entrain de pousser comme des champignons.

En se mettant à suivre régulièrement les enseignements et prédications transmis aux croyants, on comprend que le Pasteur et apôtre Jules MULINDWA est, au lieu de prêcher l’amour pour créer de l’entente et la concorde entre les croyants de cette secte religieuse et les autres, entrain de semer des conflits religieux voire politiques.

De retour de son exil, ayant été interpellé par les autorités urbaines de Goma, le pasteur se décide de continuer ses activités en l’opposition et le rassemblement pour se faire bien voir des autorités de la province du Nord-Kivu et de la RDC. Cette démarche lui permit de recevoir la visite du N°1 de la République et la lettre d’autorisation de la part de celui-ci.

Les enseignements de cet apôtre secteur sont caractérisés par des insultes, débordements et hors-sujets.

Dans toutes les séances de la secte, la prédication concerne les sorciers et démons et rien de plus.

Le secteur Jules MULINDWA met dans la tête de ses adeptes que les principaux sorciers sont les responsables religieux d’autres Eglises, s’attaquant toujours aux prêtres catholiques, divulguant mensonges et blasphèmes contre eux.

La principale mission de cette secte religieuse est de faire la contre-campagne et toutes les mauvaises choses du monde de l’Eglise Catholique qui, elle, reste stable sans être obligée de lancer des répliques contre cette secte. « On répond à l’imbécile par le silence. », dit-on.

La bouche du secteur est entrain de générer un probable guerre religieuse par les enseignements qui en sortent, mais il ne cesse de porter tous les maux du monde à la tête des responsables de l’Eglise-Mère.

La RDC est-il un royaume? Confusions du Pasteur Jules Mulindwa


La RDC n’est plus une République. Elle est désormais proclamée ROYAUME par un pasteur de Goma.

S’appuyant sur le passage biblique qui dit que toute autorité vient de Dieu, le pasteur Jules MULINDWA soutient toutes les sottises que sont entrain de commettre les autorités politiques congolaises, en commençant par le désormais ROI du désormais Royaume Du Congo (RDC), selon le pasteur, Monsieur Joseph Kabila et tous ses ministres.

Les actualités du Congo se sont fait entendre partout dans le monde, concernant le fameux glissement, bien planifié du Président Kabila et ses hommes, qui a créé des troubles et mésententes entre la dynamique de l’opposition et la majorité présidentielle.

Les Evêques Catholiques  de la Conférence Episcopale Nationale du Congo (CENCO) se sont sentis obligés de bien exercer leur fonction de rétablir une certaine concorde entre les deux parties en discorde, en proposant des assises de négociations pour trouver de pistes de solutions aux maux du pays.

Cette sage idée est mal vue du pasteur Jules, qui jase déjà devant ses adeptes en divulguant de pires mensonges à ce sujet.

Après l’échec de ces négociations, le pasteur Jules est réconforté quand il entend le Président Kabila dire sur les médias européens que les Evêques Catholiques ne sont pas des Saints. Vrai !

Prédications du Pasteur Jules Mulindwa 1

Un certain dimanche, alors qu’il était entrain de prêcher dans son église, l’autoproclamé prophète Jules Mulindwa s’attaque davantage et aux croyants et aux différents responsables de l’Eglise Catholique se basant principalement sur les actes rituels pratiqués même au sein de celle-ci.
Il ne cesse de répéter que les autorités de l’Eglise Catholique sont, dans beaucoup de cas responsables d’actes de tricherie, comme par exemple, ce sur quoi il s’est toujours basé, les actes de débauches avec les adolescentes et femmes de l’Eglise, la complicité aux générations de guerres, et les accusant de fois de constituer un mouvement d’opposition contre le régime en place, celui de M. le Président Joseph Kabila Kabange, pour se faire bien voir des membres de la majorité du côté de ce dernier.

Par un passage parabolique de la Bible, il convainc ses adeptes de la droiture de tout ce qu’il dit et fait, en insultant gravement les personnes de troisième âge, dont ce passage biblique en parlait d’un, portant à leur dos tout mal existant sur cette terre, puis détourne son langage  disant que le vieux faux prophète dont parle ce verset, dans la vie de ces jours, est substitué par les responsables de l’Eglise Universelle, y compris ceux de l’Eglise protestante, s’attaquant violemment à sa victime préférée, Eglise dont il est originaire, la Communauté des Eglises de Pentecôte en Afrique Centrale, la CEPAC.
Il ne manque pas, comme de son habitude, de tirer les vers du nez des Curés d’Uvira, au Sud-Kivu, par de propos mensongers qu’ils parlaient d’une prophétie d’une probable hécatombe en date du 19 Décembre 2017, date marquant la fin du mandat légitime du Président Kabila, ce qui les aurait pousser à présenter des excuses hypothétiques sur leur chaîne de radio. Il a également révéler la grande joie qu’il a eue en apprenant la mort du Bourgmestre de la commune de Goma à Goma, M. le feu James NZUMUKA, avec un ton de moquerie.

Portrait et vie du pasteur Jules Mulindwa

Au cœur de la ville de Goma, une église a été créée et implantée par un certain pasteur répondant au nom de Jules MULINDWA. Ce pasteur a fait ses études secondaires et a obtenu son baccalauréat, qui marque d’ailleurs la limite de ses études, dans une institution reculée de l’intérieur de la Province du Nord-Kivu en RDC, je veux parler de l’institut NYABYONDO dans le territoire de MASISI. Après cela, il est venu dans la ville de Goma continuer sa vie spirituelle au sein de la Communauté des Eglises de Pentecôte en Afrique centrale, dans la paroisse de la 8ème CEPAC OFFICE, précisément, et ce, avant d’aller en Ouganda puis revenir un peu après ici à Goma, en RDC, dans le cadre de la recherche de chance aux affaires auprès de grands gardiens de la culture africaine.

Ayant atteint l’objectif principal de ses courses, il se décide alors de crées une secte religieuse basée à Goma, portant la dénomination de « CITE DE REFUGE ». Au départ, les séances se font à ciel ouvert avant de trouver des bâtiments en location, pour quelque temps seulement, pour enfin trouver où implanter définitivement son propre bâtiment, dans sa propre parcelle, où, avant l’achèvement des constructions, les adeptes sont victimes des rayons solaires et même de fortes pluies pendant que le pasteur et sa femme sont entrain de prêcher abrités sous la véranda de leur maison.
Aujourd’hui, dans cette secte, on peut compter plus d’un millier d’adeptes capturés par la prédication du pasteur Jules.

La secte est toujours en pleine sensibilisation, à tel point que le pasteur, par « les offrandes forcées des adeptes », est parvenu doter son Eglise d’une station de radiodiffusion, où l’on diffuse toutes les activités exécutées pendant les séances de la secte.

Dans les billets qui suivront, je vous parlerai du déroulement de ces séances et si possible, je vous apporterai des élément sonores téléchargeables au format mp3.

Argumentation principale du pasteur Jules Mulindwa

A l’introduction de ses discours, le pasteur Jules MULINDWA dit pourtant qu’un serviteur de Dieu doit être caractérisé par la paix, l’am...